lundi 12 février 2018

Mieux vaut un petit paresseux plutôt qu'un grand fainéant.

   Si vous faites défiler les photos au rythme d'une par minute à la façon d'un flipbook, vous aurez une idée de la rapidité de progression de ce paresseux. 
Comme on dit à la Réunion, il y va tilanp-tilanp, tout dou-ce-ment.

   Au moins, on a tout le temps de le photographier. Le plus compliqué est de le repérer, d'autant qu'au rythme où il se déplace, on ne l'entend pas. Et la plupart du temps, il dort, suspendu aux branches. Il ne descend au sol qu'une fois par semaine pour faire ses excréments.
Si, malgré sa lenteur, il est plutôt acrobate dans les arbres, en revanche il est très malhabile au sol et se traîne péniblement.

   Celui-ci est un jeune aï ou paresseux à trois doigts aperçu au Rorota.
Il en existe une autre espèce en Guyane, le Unau, qui lui ne possède que deux griffes aux pattes avant.

















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